A quelques heures du jugement du procès historique du leader Vital Kamerhe accusé dans un présumé détournement des fonds alloués au programme de 100 jours, la Communauté Swahiliphone Vivant à Kinshasa (CSVK) hausse le ton pour la cause de Vital Kamerhe, un des grands leaders swahiliphones.
Selon nos confrères de congo Witness dans une déclaration faite à la presse, la CSVK dénonce un plan manifeste visant la mort politique de Vital Kamerhe, président national de l’Union pour la Nation Congolaise(UNC), un plan monté par une équipe des conspirateurs contre la nouvelle république.
Accusé par une équipe des conspirateurs contre la nouvelle république, votre Directeur de Cabinet Vital Kamerhe fut traduit en justice a été accusé d’avoir détourné les fonds alloués dans le cadre du programme des 100 jours. Le mercredi 08 avril 2020, alors qu’il était invité au parquet général de Matete, en qualité de renseignant dans le cadre de ces enquêtes, Vital Kamerhe fut arrêté et dépêché au centre pénitentiaire de Makala, en violation de ses droits et liberté fondamentaux »; dénonce avec force la Communauté Swahiliphone Vivant à Kinshasa.
La façon dont notre leader a été arrêté et toute humiliation qui s’en suivait nous avait laissé perplexe. Pour la CSVK, il y avait déjà une volonté manifeste de nuire ce grand leader et consacrer sa mort politique, tellement que sa force politique est bien connu tant au niveau national qu’international; regrette la CSVK.
Tout en demandant l’acquittement de leur fils Vital Kamerhe les Swahiliphones rappellent le Magistrat Suprême Félix Tshisekedi le rôle de Vital Kamerhe dans la cohésion nationale, l’unité et la stabilité du pays.
Depuis l’arrestation de Vital Kamerhe, les mouvements de soutiens se multiplient dans plusieurs coins de la Republique pour exiger sa libération.
Les Pro-Vital Kamerhe et toute personne éprise de justice équitable ton savoir que depuis le début du procès de 100 jours de Vital Kamerhe et consorts jusqu’à présent, aucune preuve n’a déjà été présentée au tribunal démontrant directement ou indirectement l’implication de Vital Kamerhe dans le crime économique qui s’est produit lors du projet «100 jours» du président Felix Tshisekedi.
Le problème est que le détenu VK a été confiné avec les personnes reconnues coupables de crimes dans la prison de Makala, ce qui n’est pas admissible. S’ils ne pouvaient pas lui accorder la liberté provisoire pour l’une ou l’autre raison, il n’aurait pas pu être envoyé au centre correctionnel de Makala mais plutôt placé dans un endroit où il sera surveillé.