Au Sud-Kivu à l’est de la république démocratique du Congo, les violences font parties du quotidien et continuent à faire parler d’elles à Minembwe dans le territoire de Fizi, massifs d’Itombwe en territoire de Mwenga et dans le haut plateau de Kalehe.
L’activisme des groupes armés dans cette partie du pays cause la mort de plusieurs personnes au sein des communautés locales, des champs ravagés font mémoires, des villages sont incendiés, des déplacements et mouvements massifs de la population y sont devenus courant.
Pendant ce temps plusieurs questions se posent pour savoir quels sont les mobiles de ces violences, qui en sont des commanditaires, les tireurs de ficelles bénéficiant des primes d’impunité et pour quel intérêt ? Toute fois, La seule victime reste connues, « population congolaise ».
Cependant, certains acteurs des atrocités des 1996, cités dans le rapport maping de l’organisation des nations unies ONU, n’ont jamais répondu de leurs actes, vivant le paradis sur terre.
Dans sa mission d’informer et d’éducation civique, votre média en ligne infordc.com, vous fait parvenir une réflexion et pour revenir, il trouve de traiter ce sujet qui nécessite une attention particulière en vue de la recherche d’une solution qui mènera à une paix durable dans ces coins de la république démocratique du Congo.
Langage d’une santé politique pas loin du rapport maping? Et si les criminels se trouvent aux alentours du lieu du crime?
Aucune paix sans justice dit-on, un travail de fond doit être fait et l’identification préalable des personnes impliquées dans ces violences et leur sanction devrait faire la priorité pour le gouvernement de la république et la communauté internationale avant de songer sur d’autres actions pour mettre fin à ces drames.
Les tireurs des ficelles existent et seraient même au sein du gouvernement de la république, d’où la nécessité de remettre en cause la crédibilité de certains acteurs et les mettre hors d’État de nuire.
L’anéantissement de ces derniers qui se retrouveraient aussi à l’extérieur du pays pourra permettre l’aboutissement à un cessez-le-feu et épargner la province des deuils et d’une décennies des conflits interminables.
Les dialogues, la diplomatie et l’utilisation de la force pourront alors intervenir en tenant compte de la crédibilité des acteurs.
Rédaction