Alain Atundu, communicateur du Front Commun pour le Congo FCC accuse l’UDPS de donner des injoctions à la justice congolaise pour éteindre le FCC.
« La démission surprise et l’interprétation prématurée du juge Benoît Lwamba et de Tunda ya Kasende, respectivement président de la Cour constitutionnelle et président du Conseil supérieur de la magistrature, et vice-Premier ministre de la justice et garde des Sceaux, ainsi que le procès dit de 100 jours »,
Ces questions qui semblent échapper à la vigilance du Front commun pour le Congo ( FCC) permettent de dénicher la volonté de l’Union pour la démocratie et progrès social ( UDPS) de faire main basse sur la justice, brandir l’épée pour décapiter et terroriser le FCC et ses leaders, a déclaré jeudi 16 juillet à la presse l’ambassadeur André Alain Atundu, cadre de cette plateforme politique.
Pour le communicateur et porte-parole de la majorité, « il serait naïf de croire que le FCC n’y comprend rien, et qu’il subirait sans broncher les événements comme le serait un troupeau de moutons qui ne se pose de question, lorsqu’on va chercher chaque jour l’un des leurs pour l’amener à l’abattoir », a-t-il expliqué.
Pendant ce temps, Alain Atundu a invité et conseillé l’Udps « d’appliquer de bonne foi le deal la coalition FCC-CACH, de s’atteler aux problèmes de sociaux de la population, le pouvoir d’achat, la reprise économique après la pandémie, trouver la solution à la dépréciation de la monnaie nationale, en lieu et place de l’affrontement meurtrier dont l’issue serait incertaine », a-t-il soutenu.
Notons que depuis un temps, la tension politique ne cesse de monter du jour le jour entre les deux coalitions politques (FFC-CACH).
Paulin AGANZE