Alors que la majorité des pays occidentaux soutenaient que c’est Martin Fayulu qui avait gagné l’élection présidentielle du 30 décembre 2018, ces derniers ont clairement déjà abandonné la lutte pour « la vérité des urnes » dans laquelle ils étaient engagés avec leur soutenu ( Martin Fayulu).
L’union européenne au départ opposée au résultat de la commission électorale nationale indépendante (CENI) confirmé par la cour constitutionnelle qui avait proclamé Félix Tshisekedi comme vainqueur de cette élection, l’a par la suite accepté.
Si cette reconnaissance de Félix Tshisekedi par ses contéstateurs d’hier se manifestait encore dans leurs propos, aujourd’hui c’est par les actes.
Ces images du passage du président de la république en Europe et à l’ONU qu’info.com vous propose en prouvent quelque chose.
De l’hypocrisie en Occident mais aussi à l’intérieur du pays
Contrairement à avant, le précité a visiblement commencé à se replier sur lui-même dans son combat dit de la « vérité des urnes ».
Tout commence lorsque ses alliés de la plate-forme politique LAMUKA ont certains dans leurs déclarations reconnu le nouveau pouvoir de Kinshasa.
Moïse Katumbi avait déclaré qu’il fera une opposition républicaine en critiquant là où ça ne va pas et en encourageant ce qui va.
Depuis son retour de l’exil ce dernier s’est montré moin critique vis-à-vis du chef de l’État avec qui ils ont mené une lutte dans l’opposition contre le régime de Kabila.
Le camp Katumbi a donc du point de vue philosophique, pris ses distances avec Fayulu bien que restant dans la même plate-forme.
Freddy Matungulu, un autre des cinq leaders de LAMUKA s’est fait quant-à lui nommé par Félix Tshisekedi à la banque africaine de développement ( BAD).
Kyungu wa kumwanza, Mbusa Nyamwisi et autres se sont tous décidés de travailler avec le chef de l’État.
Malgré ça, visiblement le candidat malheureux à l’élection présidentielle de décembre 2018 semble tenir et avoir toujours les ambitions pour la magistrature suprême.
Dieudonné BUHENDWA