Le coordonnateur de la synergie des forces pour le développement du Congo SFDC Adolphe Yene, a au cours dune interview accordée à infordc.com ce mercredi 23 octobre 2019, déclaré être favorable à la médiation de Norbert Basenzi Katintima au dialogue intercommunautaire dans les hauts plateaux.
Il soutient que depuis la nuit des temps les problèmes communautaires ne se règlent que d’une manière pacifique, et tout problème qui s’est réglé d’une autre façon que pacifique a eu des conséquences néfastes collatérales et source d’autres conflits cycliques dans le futur.
Le précité condamne lattitude des certaines personnes quils qualifient dégoïstes qui cherchent à nuire à cet ancien vice-président président de la commission électorale nationale indépendante CENI alors quil maitrise bien la province du Sud-Kivu et mérite pour cela dêtre le médiateur de ce dialogue « Un dialogue étant toujours un moyen par lequel les concessions sont au rendez-vous au nom de la paix sociale, la vie en commun et le vivre ensemble, un notable comme Norbert Basengezi Katintima sur un chemin de dialogue pour éviter un bain de sang, une chute économique, exode rural, le recul, devient une personne à abattre par des égoïstes sans vision du lendemain, pourtant un homme détenant, une connaissance incontestée de la province même dans les plus profonds coins,un fédérateur naturel des toutes les communautés du Sud-Kivu. » indique Adolphe Yene.
Pour lui, Ceux qui pensent que l’homme (Norbert Basengezi) ayant servi dans la rébellion fait de lui un antisocial se trompent sur toute la ligne car il est resté au service de la nation et de la province après la rébellion conjuguant dans la convivialité avec toute communauté et tribus de la province.
Adolphe Yene condamne aussi certains mouvements citoyens qui pensent que ce dernier ne mérite pas à jouer ce rôle
« Ces gens des mouvements citoyens qui pensent que rien ne peux se faire sans eux pourtant sans base juridique, se font des ayant droit sans scrupules.
Leur montage alimentaire et/ou de positionnement lorsque une activité se prépare, ne doit plus jamais passer, trop c’est trop » poursuit-il.
Dieudonné BUHENDWA