Le coordonnateur de du programme désarmement, démobilisation, réinsertion communautaire et stabilisation P-DDRC-S Tommy Tambwe continue à bénéficier du soutien des organisations de la société civile de la province du Sud-Kivu. La dynamique des organisations de la société civile et des mouvements citoyens n’est resté indifférent. Dans un mémorandum adressé au président de la république démocratique du Congo Félix Tshisekedi, les organisations membres de cette dynamique ont dénoncé ce qu’ils qualifient des mensonges contenu dans la mise au point d’une frange de la société civile. « La dynamique appelle le chef de l’État à ne pas attirer son attention à une lettre ouverte voilée sous la forme d’une mise au point de quelques organisations dites de la société civile du Sud-Kivu signée en date du 28 septembre 2021, laquelle, teintée des mensonges frise un manque de respect en sa personne et signée par un groupe des personnes avec une motivation ethnotribaliste camouflée dans les organisations de la société civile. Les signataires sont bien identifiés comme un bloc des citoyens qui distillent des messages de haine, des divisions, de tribalisme à travers des réseaux sociaux et les médias locaux pendant que tous les efforts nationaux sont convergés vers la cohésion nationale. » Indique la dynamique.
La dynamique informe par ailleurs au président de la république que toutes les actions de ses projets et actions sont l’œuvre d’un prétendu candidat président de la république aux élections de 2023.
Selon ces organisations, les sources concordantes font état des financements obscures des grèves, des contestations et des oppositions dans le seul but d’entretenir un chao social et ainsi salir l’image du chef de l’État.
Pour ces organisations, ce n’est donc pas la nomination de Tommy Tambwe au poste de coordinateur national de P-DDRC-S qui pose problème dans le chef des contestataires mais au contraire ces derniers constitués en trois blocs unis avaient leurs trois candidats à ce poste. Leur haine tribal est donc le bouclier de mobilisation des signatures au point d’avoir choisi le style des mensonges pour s’adresser à la personne du chef de l’État.
« L’opinion pourra témoigner par devant le chef de l’État que les signataires du fameux message du 28 septembre 2021 sont en bon nombre des jeunes militants qui passe tout leur temps à injurier le chef de l’État et critiquer de manière incitative ses actions, malheureusement sous l’œil impuissant et complice de l’autorité compétente au nom de la démocratie, peut-être ! Ils sont soutenus par certains membres d’autres organisations de la société civile qui font de l’acharnement contre la personne du coordonnateur du P-DDRC-S, pour des considérations tribalo-ethnique, une priorité de l’heure à la solde de ceux accéder à ce poste » ajoutent ces organisations.
Dieudonné BUHENDWA