Les membres de l’UPDS/Tshisekedi au Sud-Kivu, demandent au chef de l’État de ne pas tenir en compte des propos mensongés avancés par quelques membres du dit parti se trouvant à Kinshasa et un groupe de quelques fédéraux qui se trouvent actuellement dans la capitale congolaise.
Cette demande a été formulée lors d’un point de presse tenu ce samedi 18 mars 2023 dans la ville de Bukavu
Cette réaction intervient seulement quelques heures après la sortie d’une déclaration rendue public par le causus des cadres de l’UDPS se trouvant à kinshasa. Déclaration dans laquelle, ces membres estiment que certains de leurs camarades n’exercent par libre leurs fonctions en province du Sud-Kivu.
Pour ces gardiens de l’idéologie et valeurs Tshisekedistes, il s’agit ici des manœuvres qui visent à déstabiliser les bons fonctimment des institutions en province. Ils ajoutent que membres concernés sont cités dans plusieurs mafias en province, notamment dans la signature des contrats de partenariat public-privé signé par le gouvernement, jadis dirigé par Théo Ngwabidje.
« Le directeur de la DPMR, le coordonnateur de la cellule d’investigation, le directeur de cabinet au ministère de l’intérieur, le conseiller du gouverneur, les membres du bureau d’études, qui de ceux-là est victime de cette prétendue chasse aux sorcières ont fait allusion, les auteurs de cette déclaration? Nous voulons le savoir. Et par ce message, nous attendons la déclaration collective de tous ces mandataires du parti pour vous éclairer d’avantage excellence ». Renchérissent ces membres.
Et d’ajouter, Nombreux parmi les auteurs de cette déclaration seraient cités dans la mafia provinciale de PPP et seraient bénéficiaires de certes morcellement sur les parcelles de l’Etat vendues illégalement.
Y égard de ce qui précède, ces membres de l’UDPS, parti au pouvoir, demandent au chef de l’Etat de diligenter les élections du gouverneur en province et vice-gouverneur, pour ainsi mettre le sud-Kivu à l’abri de toute déstabilisation.
Enfin, il estime que la réhabilitation de Théo Ngwabidje, gouverneur dechu serait non seulement perçu comme une guerre déclenchée contre la population mais aussi comme saperait l’honneur, l’autorité et la dignité du chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi, lui qui avait pris acte de la démission d’office du gouverneur dechu par l’assemblée provinciale en date du 24 novembre 2023