Le professeur Jean-Jacques Purusi, candidat au poste de gouverneur, semble éviter le débat citoyen alors que des questions cruciales se posent quant à son engagement envers la population du Sud-Kivu. Son absence aux assises de la NDSCI soulève des inquiétudes quant à sa volonté de rendre des comptes et de participer à un dialogue ouvert et transparent avec les citoyens.
La NDSCI (Nouvelle Dynamique de la Société Civile Congolaise Indépendante) a organisé ces assises dans le but de fournir une plateforme pour que les candidats gouverneurs puissent présenter leurs visions, leurs plans et répondre aux préoccupations des citoyens. Cependant, l’absence de Lukwebo Purusi est perçue comme un refus de s’engager pleinement avec les électeurs.
Cette évitement du débat citoyen soulève des questions sur la transparence et l’accessibilité du processus électoral. Les électeurs ont le droit de connaître les positions et les engagements des candidats avant de prendre leur décision éclairée aux urnes. L’absence de Lukwebo Purusi aux assises de la NDSCI remet en question son engagement envers la démocratie et la participation citoyenne.
Dans un climat politique déjà tendu, l’évitement du débat par Lukwebo Purusi risque de susciter davantage de méfiance et de scepticisme parmi les électeurs. Les candidats gouverneurs ont le devoir de se présenter devant le peuple, d’écouter ses préoccupations et d’être transparents quant à leurs intentions et leurs plans pour l’avenir de la province.
Alors que les électeurs du Sud-Kivu se préparent à exercer leur droit de vote, l’absence de Jean- Jacques Purusi aux assises de la NDSCI soulève des questions cruciales sur son engagement envers la démocratie et la responsabilité envers les citoyens. Pendant ce temps, Purusi vise le gouvernorat tandis que Lukwebo se lance dans la course au Sénat, formant ainsi un duo politique inhabituel qui attire l’attention de la nation.
Daniel Murhula, acteur politique indépendant au Sud Kivu